Et puis non cela n'a absolument plus aucun intérêt de lire des articles sans queue ni tête. Je suis d'accord que l'on ait droit d'avoir sa propre façon de s'exprimer, mais il y a des limites à la littérature, qui je pense, qu'on ne peut pas négliger. Et encore si c'était beau. Et encore s'il n'y avait pas de fautes d'orthographe, de conjugaison et de syntaxe. Mais non, rien de tous ça. Tout est discrédité, et donc pourquoi je perdrais mon temps avec un jeunot, qui ne sent plus du tout que son taux de testostérone explose.
Ce que notre jeune Don Juan, et je dirais même le mauvais acteur qui tente de se tenir à ce rôle trop grand pour lui, donc ce que notre trop jeune égocentrique pseudo-philosophe croyaient dur comme fer, c'est d'avoir un pas devant les autres, les idées en face des yeux du haut de ses dix-sept ans et demi. Et bien le philosophe reste déposséder de son sens en insultant des chefs d'oeuvres de cinéma, sans même les avoir vu. J'ai presque envie de dire "Hey mon gars on ne juge pas ce qu'on n'a pas goûté".
Je me suis beaucoup amusé. J'ai beaucoup ri.